Serafino Jewellers
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SERAFINO'world / Découvrez les artisans joailliers du monde entier
2007-10-25

Cette semaine, nous partons à la rencontre d'un artisan joaillier français, installé à Bagnères-de-Bigorre. Bonne découverte !



SERAFINO / Cédez au raffinement

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Joaillerie : Bulgari s'oppose aux pierres birmanes
2007-10-17

Notre confrère joaillier et enseigne prestigieuse s'il en est, Bulgari, exige que ses fournisseurs n’utilisent pas de pierres précieuses en provenance de Birmanie.

Selon le magazine FashionMag, le troisième joaillier mondial ordonne à ses fournisseurs qu’ils lui attestent que les pierres précieuses ne proviennent pas de la Birmanie.

Un communiqué publié par Bulgari fait état des exigences : « Bien que l'entreprise n'a jamais acquis de pierres directement au Myanmar (ex- Birmanie) mais seulement sur les marchés internationaux, elle a expressément demandé à ses fournisseurs des garanties sur la provenance géographique de leurs pierres précieuses. »

Cette décision fait suite aux annonces similaires de Cartier et Tiffany qui déplorent les conditions de travail effroyables dans les lesquelles sont extraites environ 700 joyaux annuellement.

Précisons que SERAFINO, bien qu'il appuie la démarche de Bulgari, tient à signaler qu'il n'est pas en mesure, comme d'autres bijoutiers, de garantir à l'heure actuelle la provenance de l'ensemble des pierres qu'il utilise.

source : copines.ca

SERAFINO, cédez au raffinement

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Annegret & Antonio, qui êtes-vous ?
2007-10-09

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Le bijou contemporain artisanal : un potentiel encore méconnu
2007-10-02

Le bijou contemporain n'est pas très populaire. Ce qui n'est pas forcément le cas de la création Sarabande (photo ci-contre), signée Annegret Morf pour SERAFINO, mais ce cas reste encore assez rare.

Le constat est certes moins amer en Amérique du Nord qu'en Europe puisque le marché de la joaillerie contemporaine nord-américaine reste actif et jouit d'un réseau de distribution relativement intéressant, mais on est loin d'une attractivité massive.

En Europe, d’après l'une des dernières études conduite par le CPDHBJO (Comité Professionnel de Développement de l'Horlogerie, de la Bijouterie, de la Joaillerie et de l'Orfèvrerie) sur 18,100,000 pièces en or produites en 2002, seuls 3% émanaient d’une production artisanale, le prix de l’achat moyen étant de 153 Euros (soit environ 220 $ CAD). Ces deux chiffres donnent la mesure d’un marché sur lequel le bijou contemporain représente une part moindre que celui du marché de la joaillerie traditionnelle.

Mal connu, ce secteur souffre encore d’une carence en matière de formation. Les cursus classiques du bijou sont axés sur les techniques de fabrication liées aux matériaux traditionnellement considérés comme précieux, la création est abordée de façon classique et non pas comme un mode de pensée avec l’ouverture nécessaire sur d’autres arts plastiques.

Les lieux de vente spécifiques pour les bijoux contemporains demeurent rares autant en Europe qu'au Canada. L’activité en galerie n’est pas vraiment rentable. La plupart du temps, il s’agit de dépôt vente, ce qui pose des problèmes en terme d’immobilisation des pièces et d’avance de trésorerie.

Pour compenser ces difficultés, l'atelier SERAFINO a toujours misé sur un réseau de clientèle ouvert aux nouvelles tendances et friand d'innovation, mais sa réussite tient aussi aux normes de qualités très élevées qu'il a su s'imposer avec le temps et l'expérience.
L'inspiration, certes, mais aussi et surtout pour SERAFINO, la précision et le raffinement : telles sont les clefs de sa réussite.

SERAFINO, cédez au raffinement

Source : d’après un article publié dans Métiers d’art, no. 211, «Le bijou sort de sa boîte», septembre/octobre 2003.

Publié le 11 mars 2004 dans le site Internet du Conseil des métiers d’art du Québec.

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